発生学において、受精卵は胞胚⇒原腸胚⇒神経胚と変化してゆきます。

卵のなかで黄身が自我に相当するであろうし、白身から栄養を吸収して、つまりエスと超自我から受け付いたものによって成長するといった考え方になってしまう。

 Mais comme ce corps - et c'est en ça que ça consiste, cette seconde Topique de Freud - comme ce corps est situé d'une relation au ça, au ça qui est une idée extraordinairement confuse ; comme Freud l'articule, c'est un lieu, un lieu de silence, c'est ce qu'il en dit de principal. Mais à l'articuler ainsi, il ne fait que signifier que ce qui est supposé être ça, c'est l'inconscient quand il se tait. Ce silence, c'est un t a i r e. Et ce n'est pas là rien, c'est certainement un effort, un effort dans le sens, dans un sens peut-être, un peu régressif par rapport à sa première découverte, dans le sens disons de marquer la place de l'Inconscient. Ce ne dit pas pour autant ce qu'il est, cet inconscient, en d'autres termes, à quoi il sert. Là, il se tait : il est la place du silence. II reste hors de doute que c'est compliquer le corps, le corps en tant que dans ce schème, c'est le moi, le moi qui se trouve, dans cette écriture en forme d'œuf, le moi qui se trouve le représenter.

Écrire le silence comme une nécessité qui évite le péril de tom-ber dans la

métaphysique du vide : « Écrire le silence […] La lettre,la trace, devient un lieu, pour un tenant-lieu du réel 13 », comme Lacan nous le fait noter dans sa leçon du 11 mai 1976, dans laquelle il définit l’écriture comme support de la pensée, et comme question qui arrive « d’ailleurs », de l’autre scène, der andere Schauplatz de la Traumdeutung.

Maria Domenica Padula L’Es et le reel 12. F. Fonteneau, L’Éthique du silence, Paris, Seuil, 1999, p. 202.13. Ibid.

http://www.champlacanienfrance.net/IMG/pdf/padula_M41.pdf

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